[Race] Les Okuos, tout à leurs sujets. (fini)

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~~Les Okuos étaient un peuple vivant en paix jusqu'à ce que "Celui dont il ne faut pas dire le nom, voldemort, fasse son apparition.~~ (Je sens que je vais me faire allumer, moi [Race] Les Okuos, tout à leurs sujets. (fini) Icon_smile

)

Bon, sérieusement.
Traduction de L'Okuin en français (Il sera mit à jour quand j'aurai des idées de langages. [Race] Les Okuos, tout à leurs sujets. (fini) Icon_razz

):
La Poykoma'Roga : la colère divine
Badu'Gaman : Être Suprême
Bonaru : Fin du monde
Bagam : la Suprématie, ayant un rapport avec Badu'Gaman. (Badu'gaman => Ba(du')gam(an))
Mionagoda : Hydras, créatures botaniques.
Hignomia : Alraune
Kjals : Golems de terre.
Jiolnak : Ouragan
Monio : Livre
Logia : Elfe
Grandi : Haut
Bokia : bois/forêt
Pokniua : Téléportation

Êtres de feu, êtres de l'eau, êtres de la terre, êtres du vent, êtres de lumière, êtres des ténèbres, voici la définition des okuos, civilisations longtemps portées au rang des disparues. Tout êtres de sang et d'ossements qu'ils sont, chaque être de cette ancienne civilisation possède un élément propre, un élément unique. Leur chef n'est ni un être élémentaire, ni un dieu et encore moins un animal, rien de tout ça. Le chef de chaque village des Okuos a été décidé ainsi, par Maya, la divinité de la terre, Ifrit, celui du feu, Leviathan, celui de l'eau, Bahamut, celui du vent ainsi que Xerxès, divinité sombre, le seul maitrisant la lumière et les ténèbres. Ces cinq grandes divinités, proclamés, festoyés, priés et ayant des évènements et traditions pour chaqu'un d'eux, avaient créé un être ampli de magie, une marionnette, pouvant insuffler le souffle des éléments, dirigeant tout les villages à lui tout seul, ne sortant pas de sa dimension inter-dimensionnelle. Chaque année, chaque mois, chaque semaine, cette marionnette vit un nombre incalculable de nouveaux nés à ses pieds, leurs insufflant de ses membres articulés le souffle de la divinité pour. C'est ainsi qu'est décidé ce joyeux partage et c'est grâce à ceci que la destruction, la folie et la discrimination furent banni à tout jamais d'eux.

Les Okuos sont des êtres paisibles, préférant s'unir que de créer une guerre entre les leurs. "Des okuos unis = des heureux, un okuos seul = la mort" était le dicton que les plus âgés disaient aux plus jeunes pour qu'ils restent unis, de peur de mourir. "Vous ne devrez jamais mettre en colère Badu'gaman, sinon, Bonaru viendra vous chercher" était la mise en garde du gardien de la salle inter-dimensionnelle où règne Bagam, la marionnette divine. Badu'Gaman, Bonaru et Bagam sont de l'Okuin, langage des Okuos. Le premier signifie l'être suprême, le deuxième est la fin du monde et le troisième veut dire "suprématie" en rapport à Badu'Gaman. Les Okuos avaient peur de leur seul chef, pas pour de simples ragots racontés par les Omans, les sages, de vraies témoignages de la puissance de Bagam lors dee l'invasion des villages. Cette marionnette articulée maitrisait les flammes de l'enfer, l'eau des abyss, la terre la plus profonde de ce monde et le vent du roi des dragons (bahamut), créant une pollution visuelle et une destruction proche de la fin du monde, armé de son majestueux bâton grisâtre avec, comme ornement au bout, une sphère tournoyante avec chaque élément l'entourant, décorée par un " X " allongé (sur la sphère), de sa longue cape blanche imitant les ailes des anges et de son armure brillant tel un soleil.

Ils vivent dans des cavernes, des forêts, des grottes, sous la terre, dans les cîmes des arbres, certains vivraient même sous la mer, mais, ça, ça n'a jamais été démontré. Les okuos sont à la fois des nains par leurs petites tailles, des elfes par leurs grâces et leurs peaux douces et des humains, leurs ressemblant hormis pour la taille. Les seules teintes de leurs douces chevelures étaient le dorée du blé des champs ou le métal fourni par Maya (La terre fait partie des composants créant le métal). Leurs habits sont pratiquement comme ceux de Bagam, avec des différences. Chaque Okuos possède un travail en fonction de leurs éléments, recevant l'objet de sa force comme un forgeron et son marteau ou un tisseur et ses aiguilles. Le travail, cependant, le plus dur pour eux était le rang de soldat, risquant leurs vies jours et nuits, devant être plus fort qu'un lycanthrope, même si ce ne sera jamais le cas. Mais, même dans cette civilisation si bien constituée avait des sortes de "hautes noblesses", non du à leurs argents, surtout que les okuos préfèrent les jeter que les utiliser, ou bien, de bonnes fortunes, non, ces "hautes noblesses" qui ne changèrent pas pour autant étaient les soldats qui arrivaient au rang de chevalier. Chaque chevalier se voit transmettre un titre spécifique en fonction de son talent et de son futur. Ce sont les chevaliers qui assurent la sécurité des villages avec Bagam, repoussant ce qu'ils peuvent de leurs petits corps, deux épées dans chaque main.

Cette civilisation a repoussé bons nombres d'invasions, que ça soit uniquement par les chevaliers, ou par Bagam (à 40%). Mais, malgré leurs rejets d'étrangers hormis les visiteurs que Bagam accepta de laisser, ces derniers n'étaient pas derrière tout le monde, puisqu'ils avaient autant de progrès que les humains à condition que ça ne soit pas "dangereux" ou "maléfiques" comme, par exemple, l'argent. Cependant, comme tout autre civilisation, ces derniers créent leurs propres progressions (60% de leurs progrès viennent d'eux) et vont même au delà de l'imagination tout en étant possible, juste "pour l'amusement". Malgré leurs airs sérieux, ils ne disent pas non pour un petit brin de folies, organisant, dans la tradition, une fête de quatres jours, danses, musiques, buffets et rigolades pour une seule des 5 divinités. Seul soucis, après leurs fameuses petites fiestas de quatres jours, ces imbéciles dorment pendant cinqs jours pour rattraper de leurs fastidueuses fatigues. Hormis pour les fêtes ou les traditions envers leurs divinités, les okuos ne peuvent vivre sans respecter la nature, créant ainsi, même dans des parties stériles comme des grottes, un village naturel avec des herbes aussi hautes qu'une maison, des fleurs imitant la taille d'un arbre à l'extérieur décoraient de leurs belles couleurs le doux village qu'ils avaient, ayant même des sculptures, des ponts, des sortes de Arc de Triomphe sur les routes floraux ainsi que des fleuraires, sortes de lampadaires faits entièrement de fleurs et attirant les lucioles éclairant aussi biens que des flammes ou de l'électricité. Les maisons sont faites en pierres, plus résistantes ainsi et l'intérieur de chaque demeure, même différente, avait un point en commun, la décoration florale.

Les Okuos sont des êtres ne faisant aucune comparaison ou discrimination sur l'aspect des personnes qu'ils rencontrent, cherchant plus à découvrir qu'autres choses. Niveau social, un okuos change tel un lunatique en fonction des "auras" qu'ils peuvent ressentir. Effectivement, ce dernier peut passer d'un aspect chaleureux et plein de dynamisme à un aspect plus sombre, plus froid, même si la fréquence de ces changements dépend de la personne. Chaque okuos ne possède pas une grande intelligence comme les humains, mais, ils possèdent une bonne mémoire et ont un talent d'assimilation plutôt marqué, ayant le sens de la raison pour réfléchir à leurs façons. Ils ont aussi la faculté de ressentir l'aura d'une personne, d'où leurs changements de personnalités. Un Okuos admire les endroits effrayants, voir dangereux. Pour terminer, chaque okuos possède une grande puissance au plus profond d'eux, devant se concentrer un maximum pour l'exploiter, avec la pause traditionnelle de l'appel des divinités, demandant l'autorisation de se déchainer. (Bien sur, ils ne peuvent pas toujours l'utilisé et, à cause de leurs corps, ils doivent se reposer au minimum 3 jours à l'infirmerie, sans grande défense hormis Blandar, créant une aura lumineuse). Leurs puissances actuels s'élèvent à la force d'un enfant, cependant, lorsqu'elles explosent, c'est, comme on les appelle, la Poykoma'roga, la colère divine, le déferlement de l'élément dont l'okuos possède. Si c'est du feu, l'explosion élémentaire le rend aussi brulant que de la lave. Si c'est de l'eau, l'explosion élémentaire se déferlera tel un tsunami enragé, détruisant tout sur son passage, ainsi de suite pour les autres, d'où la raison pour laquelle il n'en utilise même pas la moitié de cette puissance, mais, préfère rester à 1/4, facilitant par la même occasion la vitesse de régénération.

Les Okuos possèdent des habits similaires à Bagam, de différentes couleurs (que ça soit rouge, arc-en-ciel ou même brun), ces derniers, comme je l'ai dit, ont tous la même couleur de cheveux, dont les seuls différences sont la couleur métallisée de certains, différencier par la couleur de leurs peaux en fonction de l'endroit où ils ont vécu jusqu'ici. Cependant, leurs coiffures sont individuelles, chaqu'un a une coiffure différente, malgré qu'ils ne prennent pas le physique au sérieux, disposant les perles comme bon leurs semble, ne les mettant pas si ils ne veulent pas. Leurs yeux sont uniques, car, ils unissent deux à plusieurs couleurs. Certains sont forts musclés, principalement les chevaliers comme d'autres qui sont sans un muscle (une image) comme les bibliothècaires qui sont doués en magie. Les armes, quant à elles, sont toutes différentes, portant des noms différents, mais, classé dans des oeuvres-d'arts que, de tout temps, les humains rêvent d'en avoir. Pour finir, les okuos ne mangent pas trop la viande animale, ils préfèrent, par dessus tout, les légumes et les fruits.

L'histoire

Il y a bien longtemps, une civilisation recluse sur elle-même vivait indépendamment par rapport à d'autres. Cette civilisation se nommait "Les Okuos". Personne ne sait d'où ils proviennent, encore moins depuis quand ils existent, d'ailleurs, avec le temps, même eux ont oublié la raison de leurs existences. Le seul à posséder la réponse n'est d'autre que Bagam qui ne dit pas un mot à ce sujet. La seule chose qu'on sait à leurs sujets est qu'ils ont été créé par les cinq divinités, Maya, Ifrit, Leviathan, Bahamuth et Xerxès, pour une raison précise. Vivant dans des grottes, sous la terre, dans les bois, sur des cîmes et autres lieux effrayants, leurs villages sont protégés par un champs dimensionnel, d'où l'explication des multitudes de choses inexpliquées comme un village florales dans une grotte stérile, de la terre sur des cîmes d'arbres qui se rejoignent, des maisons plus grandes à l'intérieur que l'extérieur, par exemple, des arbres, et tant d'autres encore. Etant une civilisation calme et prospère, elle connait aussi son lot de malheur. Par exemple, les Mionagodas qui sont attirés par les fleurs exceptionnelles des Okuos, les Kjals qui, eux, sont attirés par la terre sacrée de ces derniers et d'autres créatures et races voulant tirer profit de leurs lieux d'habitation. Cependant, grâce aux grands pouvoirs de Bagam, les villages se reconstruisent en une nuit et un jour, puisque ces dernières sont surtout faites avec des fleurs et autres plantes. Hormis ces quelques petits pépins, ils continuèrent à vivre et à festoyer leurs divinités qui ne cessèrent de garder un oeil sur eux.

Mais, un jour, quand personne s'y attendait, les choses sombrèrent dans le chaos total. Ca a d'abord commencé, pendant quelques jours, par un vent un peu plus fort, chose normale dans une dimension à part, puis, le vent a commencé à souffler de plus en plus fort en fonction des semaines pour, ensuite, finir par un ouragan. Par les pouvoirs de Bagam, les villages furent reconstruit aussitôt, au bout d'une journée et deux nuits. On voyait très nettement que le pouvoir de Bagam n'était pas assez puissant à ce moment-là, puisque, normalement, il lui aurait fallu une nuit et un jour. Le jour d'après la finition, les choses pour les okuos se sont vraiment aggravés.

Le jour d'après.
Le vent ne soufflait pas à la régulière, est-ce de nouveau un signe du Jiolnak ? Non, il a l'air différent de cette fois-là. Le vent qui, d'habitude, était tiède et agréable était froid et pouvait soulever tout ce qu'il voulait si ce n'était pas si lourd. Les okuos, que ça soit dans les villages des arbres où leurs habitations commencèrent à dépérir, les hauts villages d'au dessus des cîmes virent leurs terres tombées, ceux d'en dessous de la terre, des tremblements et d'autres catastrophes pour les derniers. Les okuos ne savaient que faire, les chevaliers, quant à eux, étaient là, regardant le désastre sans, pour autant, pouvoir faire quoique ce soit, secourant uniquement les personnes pour les mettre à l'abris dans un endroit sur, la bibliothèque protégé par son propriétaire, maitre de la magie, qui avait créé un bouclier protecteur. Certains chevaliers perdirent la vie, que ça soit dans n'importe quel village, et ceux qui restaient étaient au bout du rouleau, fatigués jusqu'à la moelle épinière, se tenant difficilement sur leurs jambes. Soudain, des hommes cachés par leurs manteaux noirs apparurent de nuls part, ayant chaqu'un des armes différentes. Un avait une épée, un autre une lance et ainsi de suite.

"Qui êtes-vous !" S'écria un des chevaliers Okuos.

Personne ne répondait, se mettant en garde en dirigeant leurs armes vers les personnes fatiguées qui, quant à eux, envoyèrent des personnes à la bibliothèque pendant que les autres restèrent là. Tout les villages demandèrent de l'aide à d'autres pour repousser cette invasion, hélàs, ils y étaient tous frappés. Le peu de chevaliers arrivants à la bibliothèque fut conduit vers la porte sacrée, la porte inter-dimensionnelle conduisant vers Bagam. Habituellement, personne pouvait y aller, sauf les nouveaux nées, mais, prêts pour la sanction, ils allèrent enfreindre cette règle. Ouverture de la porte dans un fracas tel qu'on aurait dit de la foudre broyant une plaque d'aluminium, ensuite, une petite spirale apparut dans l'encadré de la porte avant de grossir, ressemblant de plus en plus à un trou noir. Sautant aussitôt dedans quand elle fut terminé, chaque chevalier passa dans un couloir différent, un couloir rempli de couleurs, tournoyant comme si ils étaient en l'air, avant d'apparaître en fraction de molécules dans une urne mise à l'envers pour, ensuite, d'une grande lumière, se retrouver entier, juste en bas de l'urne reversé, comme si l'urne était un appareil aspirant les molécules humains pour, ensuite, les reconstituer en dessous de lui, comme si ils entrèrent dans un jeu via le monde réel. Regardant tout autour d'eux, la dimension était instable, des spirales apparaissaient partout, que ça soit sur les murs, le sol ou même dans l'air. Courant pour trouver Bagam, ils franchirent le labyrinthe.

Pendant ce temps, dans les villages, les chevaliers affrontèrent férocement les hommes obscurs, se faisant repoussés à cause de la fatigue. Lorsqu'ils tentèrent, tous, une attaque frontale tel un rhinocéros fonçant sur sa proie, que ça soit dans n'importe quel village. Cependant, malgré ça, les hommes réussirent à les repousser d'une facilité surprenante. Les chevaliers s'envolèrent comme une boule frappant les quilles, ayant été repoussés facilement. Quand ils touchèrent le sol et glissèrent, ils se relevèrent difficilement, épées à la main, avant de les ranger.

"Dernière chance ! Dites-nous qui vous êtes et on vous laissera partir si vous arrêtez ici !"

Rien à faire, ils se mirent en garde comme si ils étaient invulnérables à toute tentative, énervant ceux qui tentent de protéger du mieux qu'ils peuvent les plus faibles. Rengainant leurs épées, les chevaliers Okuos levèrent les bras, paumes vers le ciel, jambes écartés, avant d'en abaisser un vers les ennemis, de glisser leurs jambes gauches en arrière et d'abaisser le bras gauche à la hauteur des yeux pour, ensuite, refaire glisser la jambe gauche en avant, d'étendre son bras gauche vers l'ennemi et de placer la paume de la main droite sur son épaule pour, ensuite, le faire glisser, remettant ses pieds aux mêmes endroits, poignets contre poignets pour, ensuite, dégager un flux de magie puissante. Les hommes en noirs, quant à eux, foncèrent sur les chevaliers qui, eux, utilisèrent l'explosion élémentaire, faisant souffler le vent, pleuvoir à verse, enflammer tout ce qui peut l'être et trembler la terre. Déferlant des multitudes de techniques élémentaires, de boules de leurs éléments et de pollutions visuelles, les chevaliers durent utiliser la moitié de leurs puissances élémentaires, balayant les villages reconstruits ainsi que les hommes qui, en définitif, n'étaient que des ombres. Regardant ces derniers partirent tel une ombre quand on allume la lumière, les chevaliers regardèrent la bibliothèque protégée et d'un dernier "pardonnez-nous". Chaqu'un d'eux tomba au sol, disparaissant dans une multitude de petites particules de lumières tel des lucioles montant au ciel, tel est la punition pour avoir utiliser la moitié de la puissance de l'explosion élémentaire avec un état si critique.

Suite à la victoire de chaque village grâce à ce sacrifice et malgré que le temps soit toujours aussi grave, les chevaliers dans l'inter-dimension sortirent enfin du labyrinthe, arrivant dans une grande salle lumineuse, décoré de plusieurs signes différents de couleur noir. Au milieu de cette grande pièce règne un fauteuil blanc avec des sortes de flammes noires dessus. Une silhouette grisâtre y était assit, laissant voir quelques articulations de marionnette et, lorsque les chevaliers rentrent tous à l'intérieur, tourna sa tête pour les regarder avant de se relever, prenant appuie sur son bâton.

"Qui êtes-vous pour oser pénétrer ce lieu sacré ! Intrus, veuillez partir avant que je ne me fâche."

Dit-il tout en tapant le sol avec son baton qui laissa échapper des éclairs blanches. Ce dernier releva son arme et le pointa vers les chevaliers qui le regardèrent quand un se décide à s'avancer, montrant Blandar qui fut aussitôt reconnu par le géant lumineux. Mais, dés qu'il abaissa son bâton, la pièce lumineuse devint noire, les ténèbres se répandirent partout, la marionnette géante tenta, bien que mal, de les repousser, mais, cette dernière était bien trop épuisée suite aux reconstructions des villages qu'elle a fait et qu'elle fait encore. Aussitôt et étant sur qu'il n'y avait aucun danger, un portail ténèbreux apparut, laissant des personnes habillées en noirs sortir pour, ensuite, regarder le géant paralysé.

"Te voici enfin, pantin"

"Nous avons enfin pu capturer Bagam"

Trois de ces hommes étaient des Okuos, par leurs petites tailles et ayant dit "Bagam". Les chevaliers, qui étaient une vingtaine, regardèrent les 5 personnes rirent avant de foncer sur eux et de les attaquer. Après une grande manifestation de magie et de techniques, tout les chevaliers jonchèrent le sol, épuisés, leurs épées de l'autre côté de la pièce tandis que les autres rangèrent les leurs avant de regarder le pantin et le combattirent. Le géant se défendit du mieux qu'il pouvait, dans sa position inadéquat, donnant du mal aux autres qui réussir à le surpasser par l'épuisement de ce dernier. Ensuite, par une incantation des ténèbres qui demandaient la force des cinq hommes, ces derniers l'emprisonnèrent dans une autre dimension, une dimension ténèbreuse entièrement noire où aucune lumière ne pouvait s'infiltrer, paralysant, ainsi, le pouvoir du géant. La dimension prit la forme d'une grosse boule noire flottante et cette dernière disparut dans le portail des ténèbres avec les cinq chevaliers. Les villages furent détruit, par manque d'énergie de la géante marionnette et les okuos ayant survécus décidèrent d'aller chercher refuge ailleurs. Les vingts chevaliers ainsi que les cents soldats décidèrent de partir à travers le monde pour retrouver ces personnes et ramener Bagam, car, si quelqu'un arrivait à extraire son pouvoir, il pourrait créer la fin du monde, ce qui prendra du temps, car, si ils décidèrent de le libérer ne serait ce qu'une seconde, il détruira tout et s'enfuira.

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Petite précision sur :

Explosion élémentale
sa puissance est dit dans l'histoire des okuos, je sais, mais, un petit briefing est le bienvenu, apparement ^^".

Un okuos est plus faible qu'un être-humain niveau force physique, malgré qu'il est plus bâti que ce dernier. Il possède la force de faire mal, mais, pas assez pour découper des arbres ou des parties organiques. En gros, à part les assommer d'un grand coups, ils ne peuvent rien faire, même la flamme est à quelques degrés au dessus de la t° ambiante, insuffisant pour bruler. La partie la plus intéressante est, justement, cette "Explosion élémentale" qui ouvre les portes spirituelles des okuos, laissant exploser l'élément dont Bagam, le pantin articulé des 5 dieux, a donné, d'où le "Explosion élémentale". Bien évidement, ce n'est pas une explosion du style "Je touche un arbre et ça crée un champignon atomique", mais, ça augmente les statistiques des okuos.

30% : Aussi fort qu'un être-humain. Incapable de couper, encore. Mais, assommes difficilement.

40% : Plus fort qu'un être-humain. Capable de couper des choses fragiles comme des vases, des vitres, etc. Assommes normalement.

50% : Force classée comme celle d'une rivière déchainée. Les sorts sont plus forts sans tuer (je précise), il peut infliger des coupures et, même, couper des choses plus durs comme des arbres ou des monstres/animaux. (être-vivants à part entière, les épées sont fabriqué pour empêcher de les tuer sauf à 60%) Peut assommer quand il attaque la tête.

60% : Force classée comme une forêt enflammée. Les sorts sont plus forts. Les okuos peuvent tuer (d'où le fait qu'elle soit dans les tueuses) tout être-vivant à condition de ne pas utiliser les deux épées, mais, une seule. En cas d'emploi des deux, elle peut paralyser les membres en frappant cinq fois de suite dessus.

Et ainsi de suite. A 100%, les okuos seront aussi fort qu'un titan et un mage suprême fusionnés, mais, ça n'arrive pas, car, le seul étant à 100% se trouve être Bagam. Chaque okuos peut aller à 100% si il veut, mais, il y a une contre-partie :

10 à 30% : Rien
40% : coupures.
50% : coupures + utilisation de l'énergie. Un repos de 2 jours pour tout retrouver.
60% : Blessures non graves + utilisation de l'énergie. Un repos de 6 jours pour tout retrouver.
70% : blessures graves + utilisation de l'énergie. Si toujours en vie, un repos de 18 jours.
80 % à 100% : Mort assurée après utilisation.

Ca, c'est en se basant sur les 30%. Pour avoir 1%, un okuos doit s'entrainer au moins 1 mois avec l'explosion élémental à son plus haut niveau qu'il peut atteindre sans risquer sa vie.
Il peut aussi minimiser son temps de repos à la condition de frôler la mort en épuisant pratiquement tout son énergie et en se reposant 10 jours. Donc, pour acquérir de la puissance, les okuos ne sont pas les mieux placés.

Précision x 2
Combien de temps dure l'explosion elemental ?
En fonction de l'entrainement, elle peut durer de plus en plus longtemps. Cependant, seul Bagam peut garder un temps stable de ce pouvoir. En temps normal, voici le schéma.

Sur un 30%
10% à 30% : 10 minutes (10 postes).
40% à 50% : 7 minutes (7 posts).
70% : 6 minutes (6 posts)
80% à 100% : 4 minutes (Etant donné que c'est assez puissant. 4 posts.)

Maintenant, il y a aussi une variation. Si, à 50%, il utilise plus de magie que prévu, ça diminue à 6 minutes. Si il en utilise moins, 8 minutes, un peu logique.

-Au sujet des blessures, que dire ?
Je ne m'y ai jamais basé, car, pour moi, c'était évident. Si ce n'est que des coupures, après 2 jours, ça disparait. (En tout cas, moi, ça disparait.) Maintenant, dans le cas de 60% à 70% avec des blessures, ça peut laisser des traces. Mais, au final, ça disparait :
Blessures graves => blessures légères => plaies => coupures. Bien sur, même si ils reprennent assez d'énergie pour pouvoir se lever au bout de quelques jours, les blessures sont toujours dans la loi physique, donc, ils se guérissent en fonction du temps de l'ampleur des dégàts. En gros :
Coupures : 2 jours.
Plaies : 3 jours
Blessures légères : 5 jours
Blessures graves : 10 jours
Si un okuos atteint une blessure graves, il mettra 18 jours pour avoir une coupure, soit 20 jours pour guérir totalement.

-Niveau paralysie
C'est normal que ça soit uniquement dans un laps de temps, ça serait moins marrant et moins génial, sinon. Au bout de 5 fois : une paralysie de 2 minutes (2 posts), au bout de 10 fois de suites (C'est à dire, après que la première paralysie soit partie, le retoucher 5 fois au même endroit) : 4 minutes et ainsi de suite.

Une des règles fondamentale d'un okuos, même si il tue des personnes, est de ne jamais faire le moindre mal à quelqu'un étant faible par une maladie ou par un affaiblissement du corps ou n'ayant pas la faculté de se protéger.

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News : Schéma de l'explosion Elementale

Première partie :

Spoiler:

Première forme :
Une bulle magique de la couleur de l'élément de base (feu, eau, etc, voir plus haut) se crée autour de l'Okuos qui, ce dernier, utilise la forme d'un épouvantail avec ses épées dans les mains, la lame vers le sol.

Deuxième forme :
Commencement des enchainements. Il plante les épées qui resteront dans le sol pendant tout l'enchainement. Ce dernier les pratiquera au milieu de ces deux-là par la loi des Dieux. La bulle magique explose, démontrant l'ouverture des portes. Ce dernier commencera les enchainements.

Spoiler:

Rouge: bras droit. Bordeau : bras gauche. La forme 5 et 6 montre un enchainement avec les pieds, à quoi peut-il servir ? C'est ce qui permet, de la pointe des pieds, traçer le cercle qui limitera l'explosion de l'énergie à la 8éme forme. La 8éme forme est une position style karatéka, lorsque les poignets sont à côté des hanches et qu'on crie "Ho". La 9éme forme fait partie de la 8éme, lorsque la personnage finit l'enchainement, de l'electricité parcoure à la surface de son corps pour, ensuite, avoir un cercle lumineux qui va se propager de plus en plus, se chargeant en magie pour, ensuite, envelopper l'Okuos. L'aura qui aura entouré, à cet instant, le corps se fera sentir à la fois par la magie et par la vue.

LE cercle magique

Spoiler:

L'aura qui l'entoure à la fin et qui durera jusqu'à ce que l'effet tombe (avec la couleur de l'élément)

Spoiler:

» Une renconte tout feu tout flamme ( suite )
» Une renconte tout feu tout flamme
» Soma (pas fini, à dans une semaine)
» Orsi, Le début après la fin. [Fini]
» Une ancienne rencontre non fini (PV Maya)